25 et
      26 septembre : une belle Ecole des Cadres 2010,
      placée sous le signe de l'exigence et de... " l'émotion "... !
(cliquez pour agrandir)
| Shihan Roland Habersetzer
      avait convié les Sensei des dojos de son "Centre de Recherche
      Budo/Institut Tengu" au rendez-vous annuel de fin septembre dans les
      Vosges, au Foyer d'Amitié Internationale de Schirmeck-La Claquette,
      niché dans un cadre de verdure au creux de la vallée de la Bruche.
      Histoire de les revoir en ce début de nouvelle période d'enseignement,
      de faire le point, d'être à leur écoute, de relancer la dynamique, de
      redéfinir les objectifs et d'harmoniser les moyens pour y parvenir. Avec,
      comme toile de fond essentielle pour tous, ce "plaisir (de jouer) sur
      la voie " (Do-raku), qui ne doit jamais être occulté par les
      efforts et la volonté d'y progresser. Aller sur la route de l'art
      martial, c'est avant tout s'abandonner à la joie de travailler et de
      découvrir ensemble, sans que soit oubliée pour autant la recherche
      d'efficacité de terrain. Sur cette "Voie Tengu"
      (Tengu-no-michi), bien articulée en trois domaines de compétences,
      "Tengu-ryu karatedo", "Tengu-ryu kobudo" et
      "Tengu-ryu hojutsu", prime la règle posée par Soke
      Habersetzer, et rappelée à chacun de ses stages et séminaires, celle du
      "ne pas se battre, ne pas subir". Que cette règle éthique ne
      soit pas évidente à comprendre et à appliquer dans le contexte de notre
      société actuelle, de moins en moins responsable et guerrière (en dehors
      de l'aspect ludique de la chose, ce qui, en banalisant les comportements
      d'affrontement dans le virtuel, est une dérive autrement plus
      dangereuse...), est un constat qui n'est pas nouveau. D'où le besoin de
      faire repasser le message chaque année lors de l'Ecole des Cadres. Soke
      Habersetzer ne les compte plus, ces types de séminaires qu'il a tenu dès
      le milieu des années 1960 où, encore délégué zélé de la
      fédération sportive, il avait déjà mis sur pied à Strasbourg des
      journées de rencontres des dirigeants de dojos alsaciens et lorrains
      (alors en général ses premiers élèves) dans le but de les aider dans
      leur enseignement (des souvenirs décevants, dans la mesure où on venait
      à lui juste pour apprendre un nouveau kata ou quelque enchaînement
      technique original, ce qu'il mit quelques années à comprendre.... Voir
      ses "Mémoires", sur ce site). Depuis plus de 30 ans ses efforts
      portent donc sur le dynamique de sa seule association CRB-IT. 
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 La Commission Technique autour du Soke 
 
 
 
 
 Photos de Jean-Claude Bénis 
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27/09/2010